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La Lettre

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il était une fois... il est toujours une seule fois

Les contes existent grâce à la rencontre entre ceux qui les disent et ceux qui les entendent, sinon ça ne conte pas !

« Conter C’est un « je » qui dit « nous »

c’est mentir pour dire la vérité

C’est mettre au présent un passé vivant

Un coucher de soleil c’est beau, une vieille dame qui raconte un coucher de soleil c’est encore plus beau (Jean-Michel Ribes)

"Le conte, ai-je découvert, demande un état d’abandon des pensées tâtonnantes et l’acceptation du secret qui cherche à émerger."
Elzbieta : "le langage des contes" ed rouergue

"Qui frappe ainsi à ma porte ? Réponds-moi, ô mon fidèle verrou. C’est un errant, c’est un mendiant, c’est une parole de la nuit, c’est une parole de désir, c’est un conte. C’est une "parole anonyme, peut-être même bâtarde, car elle ne connaît point son père, condamnée qu’elle est à chercher en nous sa maison".
Une maison où brille une petite lumière.

...Dans la voix du conte et dans ses harmoniques, dans son timbre, dans son rythme, dans la voix du conteur qui se fait interprète de la mémoire collective, résonne toujours l’écho des voix antérieures..."

"la clé des contes" Bernadette Bricout ed. Seuil

"Un texte est toujours le souvenir d’une bouche qui reste dans l’impossibilité de dire ce qu’elle a vu...
Le texte veut redevenir toujours la langue que symboliquement il a été. Mais le texte ne sera jamais cette langue..." Serge Pey, "la main et le couteau"


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